jeudi 26 janvier 2017

Cela vaut-il la peine de discuter avec the co-président of the UDC of the Valais romand ?

Question essentielle s’il en est.

Je ne peux pas voir ce qu’il publie sur son mur facebook puisqu’il m’a bloqué, il y a de cela bientôt un an. A ce sujet :


Mais bon, j’ai quand même vu que, aujourd'hui, il attaquait ma neutralité, s’en raillait, s’enrayait peut-être aussi un tout petit peu.

La compréhension me paraissant être, chez ce monsieur, à peu près aussi aiguisée que la compassion, je me permets une minuscule explication de texte (déformation professionnelle), qui revient à une minuscule explication tout court, en plus d’être toute courte.

Donc voilà : quand j’écris : « Dans ma classe, en 25 ans d’enseignement, j’ai toujours observé la plus stricte neutralité. », cela signifie que, dans ma classe, en 25 ans d’enseignement, j’ai toujours observé la plus stricte neutralité. J’imagine que la limpidité de mon explication de texte lui suffira.

J’ajoute en commentaire que je le défie de trouver un de mes anciens élèves qui pourra prouver (ou même prétendre et étayer la moindre) que j’ai fait de la politique en classe, que j’ai transmis ou fait passer une quelconque idée politique en classe.

Par contre, en salle des maîtres, au bistro, dans le cadre privé et, depuis un an environ, public, je n’ai jamais été neutre et encore moins prétendu l’être.

Mardi, j’ai, pour moi, transgressé un tabou. J’imagine que je vais continuer dans cette voie… Enfin, on verra…

Donc voilà. Si quelqu’un peut lui faire parvenir ce texte. Pas possible pour moi.


J’ai fini. Je n’ai toujours pas de réponse à la question en titre.

1 commentaire:

  1. Bravo et merci. Je me pose beaucoup de questions sur la neutralité. Face à des enfants, c'est une obligation. Quand j'étais éducateur de rue dans les années 80, j'ai publié une revue : Communication impossible. L'idée est de faire le lien entre la marge et les autres. Il s'agissait d'écrit d'un auteur d'une vingtaine de pages. Au nom de la neutralité, j'ai publier un numéro d'Oscar Freysinger. Je n'aimais pas le texte et je croyais à cette foutue neutralité !

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